On déménage

L’idée de ce blog était de le faire grandir et de grandir avec, et de partager ma passion du football et de l’écriture. J’estime avoir réussi ces objectifs et je veux continuer à progresser et à faire connaîte ma plume. Pour cela, l’idéal est d’avoir de la visibilité, voilà pourquoi j’écris pour les frérots d’utilmodiez.fr et real-france.fr. Vous trouverez sur ces sites beaucoup plus de contenus et de régularité, et mes articles !

On se retrouve ici :

• sur ultimodiez.fr : http://ultimodiez.fr/author/wahdanrany/
• sur real-france.fr : http://real-france.fr/author/rany/

Ce blog restera tel quel et il y aura peut-être d’autres articles, on ne sait jamais. Puis, c’est toujours bien de revoir ses anciens articles, si un jour je peux vivre de ma passion, ce serait cool de revoir le chemin parcouru.

Bref, on se retrouve sur les sites ci-dessus !

Voici mes derniers articles :

• Lucas Vazquez, l’homme que l’on n’attendait pas : http://real-france.fr/?p=27887&preview=true
• Zizou et sa bonne étoile : http://ultimodiez.fr/2016/06/03/zizou-bonne-etoile/#.V2BJCzWio7g
• Sergio Ramos, celui qui ne s’est jamais caché : http://ultimodiez.fr/2016/06/09/sergio-ramos-celui-qui-ne-sest-jamais-cache/#.V2BJBjWio7g
• Et Dimitri pleura : http://ultimodiez.fr/2016/06/11/et-dimitri-pleura/#.V2BpETWio7g

Zidane au Real, un cadeau empoisonné mais si excitant

Quelques mois après sa prise de fonction, Rafael Benitez est déjà remercié. Un scénario si prévisible tant le choix de remplacer Carlo Ancelotti par Rafael Benitez est peu compréhensible. Derrière l’excuse de la « recherche du perfectionnisme » , Florentino Pérez a viré Carlo Ancelotti, celui qui lui a permis d’amener cette fameuse Décima qu’il a promis depuis tant d’années. En le remplaçant par Rafa Benitez, Florentino Pérez a commis une grande erreur car l’entraîneur espagnol est en perte de vitesse et ne correspond absolument pas à l’identité du Real Madrid, qui malgré un projet et une philosophie pas toujours faciles à comprendre par les choix de son président, est un club qui a toujours prôné un football offensif, porté vers l’avant, qui ne peut pas se contenter du strict minimum. C’est finalement Zinédine Zidane qui remplacera l’ancien de Naples et qui aura, pour son premier rôle important sur un banc, une très lourde tâche : celle d’entraîner le Real Madrid, ce fameux club où la pression est inhérente et là où l’échec ne pardonne pas.

Keylor Navas, ce miraculé

Il existe des hommes avec des destins invraisemblables. Le genre de vie qui se résume à un éternel ascenseur émotionnel, comme une roue qui ne cesse de tourner. Chaque réveil est différent, les jours se suivent mais ne se ressemblent jamais. Au football, certains joueurs sont dans la même situation. Millionnaires, connus, dans des grands clubs de football, sont-ils à plaindre ? Ils sont en bonne santé après-tout, ils sont riches… Pourquoi se plaindraient-ils ? Pourquoi lamenteraient-ils sur leur sort ? Surtout vu les actualités auxquelles on a le droit. Dans un monde où beaucoup voient l’argent comme une finalité, comme le but final de leur vie. Mais la vie n’est pas aussi simple. L’Homme non plus. Alors, il existe des « miracles », des situations qui évoluent, sans que l’on ne connaisse véritablement la raison. Dans le football aussi, il existe des miracles. Toutes proportions gardées bien entendu,  « ce n’est que du foot » … Ou pas.

Le football espagnol est au sommet

Grâce à sa nouvelle victoire finale en Europa League, le FC Séville est devenu l’équipe la plus titrée dans la compétition et s’est directement qualifié pour la Ligue des Champions. Ainsi, l’année prochaine, nous pouvons avoir 5 équipes espagnoles en C1 si Valencia passe les barrages. Cela valait bien un article sur le championnat espagnol, notamment sur ses outsiders, qui brillent, tant bien que mal, face à la crise et dans l’ombre des deux ogres.

Les raisons d’un échec amer

Mercredi soir, contre la Juventus, le Santiago Bernabeu a connu une soirée au goût amer. Le même goût, qui persiste depuis six mois, qui scelle une saison frustrante sans le moindre trophée majeur. Comme l’année dernière, l’équipe de Carlo Ancelotti a lâché une Liga bêtement, et cette fois-ci, la Ligue des Champions n’a pas pu rattraper cet échec. Retour sur la saison madrilène, un fiasco au goût amer.

Les larmes de Chicharito

Après avoir marqué le but synonyme de qualification, Javier Hernandez a été remplacé. Sur le banc, en fin de rencontre, le Mexicain a été submergé par l’émotion. Le résultat d’une expérience madrilène compliquée pour un joueur passionné qui revient de loin.

Luciano Vietto, la révélation

Âgé de 21 ans seulement, le jeune Luciano Vietto s’est adapté à l’Europe à une allure folle et fait les beaux jours de Villarreal. En effet, le jeune argentin a fait le grand pas puisqu’il a changé de continent lors de l’été 2014, et pour lui, le temps d’adaptation n’existe pas. Les plus grands clubs européens sont déjà intéressés. Son avenir est déjà tracé. Portrait.

La renaissance de Marcelo

Il y a un an, Marcelo était au fond du trou. À cause de ses blessures à répétition, le latéral gauche brésilien avait pris du poids et n’avait plus le rythme de la compétition. Heureusement pour Madrid, F.Coentrao s’est réveillé à temps et a été solide durant la seconde partie de saison. Depuis, le portugais est souvent blessé, Marcelo est revenu en forme. Entre ce temps-là, il y a eu la Décima, un été cauchemar, entre le naufrage du Mondial et le décès de son grand-père. Récit d’une renaissance.

Dani Carvajal, le gladiateur

Joueur très important de l’équipe de Carlo Ancelotti, Dani Carvajal s’est imposé dans son club de cœur après une pige en Allemagne au Bayer Leverkusen. La barbe et le madridismo d’Alvaro Arbeloa, mais pas son football. Tant mieux. Portrait d’un pitbull qui a du ballon.

C1 – Chelsea – PSG, la déception Mourinho

Si les parisiens ont été héroïques et ont mérité leur qualification, on ne peut pas en dire autant de l’équipe de José Mourinho. En supériorité numérique durant une bonne partie du match, Chelsea n’a jamais pris le dessus sur le PSG. Ou par intermittence. Lors de ce huitième de finale de la Ligue des Champions, s’il y a bien une équipe qui mérite la qualification, c’est bien Paris. Ne serait-ce pour le ballon ; pour l’ambition du jeu. Et bien sûr pour l’attitude dans la difficulté. Chelsea a montré d’étonnants signes de fébrilité pour une équipe à 11 contre 10 à domicile. Si « une équipe ne mérite pas de gagner parce qu’elle ne gère pas la pression à domicile avec un joueur de plus » selon Mourinho, ce dernier a aussi sa part de responsabilité.